Développer son estime de soi peut sembler complexe. C’est un cheminement qui se construit peu à peu, malgré les doutes qui s’installent, les jugements qui pèsent.
Dans mes ateliers, j’initie à des pratiques artistiques qui favorisent le lâcher-prise et la reconnexion à soi à travers le geste et la matière.
Avec ces arts « spontanés », j’ai constaté à quel point créer sans attente pouvait transformer le regard que l’on porte sur soi. Explorer librement, sans viser un résultat parfait, c’est déjà affirmer sa place, s’exprimer sans crainte du jugement.
Ces formes artistiques inspirées du Japon invitent à ralentir, à écouter, à suivre son rythme naturel.
Elles offrent un espace pour expérimenter, se retrouver et cultiver confiance et estime de soi en douceur.

Cet article s’inscrit dans un événement inter-blogueurs organisé par le blog L’Action Suit Tes Pensées.
Je t’encourage à lire 12 signes de manque de confiance en soi et les solutions, un article qui aide à identifier ces freins et à les dépasser.
I.Pourquoi les arts « spontanés » aident à développer l’estime de soi
Manquer d’estime de soi, qu’est-ce que cela signifie vraiment?
Tu ressens souvent que tu n’es pas à la hauteur ou que tu as du mal à prendre du temps pour toi sans culpabiliser ? Peut-être même que ton rapport à ton corps a changé, notamment après une épreuve, une période de surmenage, un bouleversement personnel…
Ces sensations peuvent s’exprimer sous différentes formes :
- Un doute constant : l’impression de ne jamais faire assez bien, de ne pas mériter certaines choses.
- La peur du regard des autres : la crainte d’oser, de se montrer tel qu’on est.
- Le perfectionnisme bloquant : l’idée qu’il vaut mieux ne pas essayer plutôt que de rater.
- Un rapport compliqué au corps : la sensation d’être étranger à soi-même, de ne plus se reconnaître.
- Une difficulté à s’accorder du temps : tout faire pour les autres et s’oublier soi-même.
Pourquoi les arts « spontanés » peuvent aider à retrouver l’estime de soi?
L’art, lorsqu’il est pratiqué sans contrainte, sans recherche de performance, devient un outil puissant de reconnexion à soi.
Il invite à l’expérimentation, au ressenti, à la liberté.
Ces arts inspirés du Japon, en particulier, sont parfaits pour ce cheminement car ils valorisent la spontanéité, l’imperfection et le moment présent.
II.Quatre arts japonais à pratiquer sans complexe
Ces quatre pratiques artistiques japonaises que nous allons explorer permettent toutes de développer son estime de soi.
Elles demandent peu de matériel, ne cherchent pas la perfection, et mettent l’accent sur le geste libre et le ressenti.
1.Présentation des 4 arts populaires japonais :
Le Haïku : Un art poétique minimaliste et accessible à tous.
Le haïku est un poème court qui capture l’essence d’un instant, une observation fugace de la nature ou du quotidien. Il ne s’agit pas de « faire de la poésie », mais de suggérer ses sensations et ses émotions avec les mots les plus simples, concrets et ordinaires.
Décrire les petits événements de la vie nous invite à voir la beauté dans la simplicité, sans jugement mais aussi avec humour.
Tuant une mouche
j’ai blessé
une fleur
Kobayashi Issa
Si tu souhaites plonger dans cet univers poétique, voici mes tutos pour débuter : Comment écrire un haïku en 3 étapes faciles ?, Haïku et écriture attentive : exprimez-vous librement avec des arts spontanés.
L’Etegami : Une carte-message peinte à l’encre et à l’aquarelle.
L’etegami est un art du partage où l’on peint une image simple accompagnée d’un message court. Chaque carte s’adresse forcément à quelqu’un. Cette pratique repose sur la maladresse assumée grâce à une posture légèrement contraignante qui libère le geste. Très populaire au Japon, l’etegami montre que la création est accessible à tous, sans nécessiter de talent particulier.
Découvre quelques tutoriels faciles, ici : Découvre l’Etegami: l’Art Simple du Mail-art Japonais, Aquarelle etegami : méthode facile pour se (re)mettre à la peinture.
L’Orizomegami : L’art du pliage et de la teinture du papier.
L’orizomegami consiste à plier le papier de différentes manières avant de le teindre, créant des motifs symétriques et kaléidoscopiques. La diffusion des couleurs, la durée du trempage et la pression exercée sur les plis influencent le résultat, offrant une grande diversité d’effets.
Cette pratique ludique permet de s’émerveiller à chaque fois avec un plaisir enfantin.Découvre cette technique avec mes DIY : Déco de Printemps : l’orizomegami, la touche japonaise pour un intérieur unique, Animaux rigolos : Activité de loisir simple avec la technique du papier plié teinté.
Le Chigiri-e : Image réalisée en papiers déchirés.
Le Chigiri-e consiste à déchirer du papier pour composer des images végétales, animales ou abstraites. L’œuvre finale évoque parfois des peintures à l’aquarelle. Comme l’orizomegami, cette technique accorde une grande importance aux textures et au toucher, offrant une approche sensible et intuitive de la création.
2.Quatre dynamiques essentielles pour développer son estime de soi
2.1.Apprivoiser l’instant présent et son regard sur soi
Créer, c’est d’abord se donner le temps de regarder. Poser les yeux autrement sur un détail du quotidien, observer les formes, les couleurs, les textures… C’est aussi
se surprendre à ressentir différemment, sans jugement, sans précipitation. L’eau qui se diffuse sur le papier, un motif qui se dessine presque tout seul, malgré soi… Chaque instant invite à sortir du mental et à s’ancrer dans le moment.
2.2.Lâcher prise et se libérer du contrôle
Impossible de tout maîtriser… et c’est tant mieux ! Ici, on accueille l’inattendu avec bienveillance.
Un tracé irrégulier ? Une tâche imprévue ? Plutôt qu’un « raté », et si c’était une nouvelle direction, un détail qui rend ton œuvre unique ? En jouant avec le hasard, en acceptant l’imprévu, on apprend à se libérer de cette pression du « bien faire » qui bloque souvent l’expression et l’estime de soi.
2.3.Écouter son corps et faire confiance à son ressenti
Créer mobilise le corps entier. Le mouvement de l’encre, la pression des doigts sur le pinceau, la respiration qui s’accorde au geste… Chaque acte porte une intention, chaque contact avec la matière révèle un état intérieur: doute, frustration, dualité..
Ton trait est-il rapide ou posé ? Tes mains hésitent-elles ou se laissent-elles guider ? Sens-tu le moment où il est juste de t’arrêter, celui où l’image, le mot ou la composition trouvent leur équilibre ? Créer, c’est aussi apprendre à écouter ces signaux subtils, à suivre ce qui vibre en soi plutôt que de vouloir contrôler.
2.4.Retrouver le goût de la découverte et la joie simple
Ici, on oublie le résultat et on redécouvre le plaisir pur d’expérimenter. Superposer des couleurs, tester des textures, explorer de nouvelles associations…
Comme un enfant qui joue, sans attente, juste pour voir ce qui se passe. Et c’est souvent là, dans cette liberté, que naît la vraie magie : un moment où l’on sent que l’on est capable de créer quelque chose de flatteur, sans résistance.
III.Le Chigiri-e : des résultats immédiats pour retrouver l’estime de soi
Le matériel proposé ici est une alternative aux outils traditionnels. Cela te permet ainsi de tester rapidement cette technique.
1.Matériel nécessaire
- Essuie-tout blanc ou papiers colorés, chutes de lé de tapisserie
- Gouache, aquarelle diluées ou encres liquides aux couleurs de ton choix
- Une feuille épaisse (cartonnée ou pour aquarelle)
- Crayon gris
- Colle en bâtonnet ou vinylique liquide
- Pinceau aquarelle (pour colorer le papier)
- Pinceau-brosse (pour étaler la colle liquide, optionnel)
- Feuille absorbante (papier aquarelle, essuie-tout, etc.)
- Plateau ou support plastique (pour teinter le papier)
2.Étapes de l’expérience
2.1.Colorer le papier
Trempe ton pinceau dans l’encre ou la peinture diluée puis laisse tomber quelques gouttes sur les feuilles d’essuie-tout pliées.
Astuce : si tu as testé la technique de l’orizome, garde tes papiers absorbants pour réaliser tes images en chigiri-e.
2.2.Esquisser les motifs
Trace légèrement les contours de ton image sur le papier épais.
Astuce : Utilise une feuille de calque pour reproduire un motif si besoin.
Astuce : Récupère du carton d’emballage léger, son fond texturé peut enrichir ta création.2.1.Colorer le papier
2.3.Déchirer les fragments de papier
Une fois sec, déchire le papier coloré en morceaux. Suis ou non les teintes de ton modèle de départ.
À retenir : Garde les franges du papier, ce sont elles qui créent l’effet aquarelle recherché.
2.4.Assembler et Coller les morceaux de papier
Superpose et juxtapose les morceaux pour créer des nuances et des dégradés.
Ne cherche pas à reproduire le motif parfaitement, adapte-toi à ce qui se produit et laisse-toi surprendre !
IV.Expérimenter le Chigiri-e avec un motif simple : la pervenche ou la pensée
Le Chigiri-e se prête particulièrement bien à la représentation de fleurs, grâce aux effets doux et diffus obtenus avec le papier déchiré.
Pour cet exercice, je te propose de t’inspirer d’un motif simple et accessible : la pervenche ou la pensée. Ces fleurs aux formes arrondies et aux couleurs diffuses permettent une grande liberté d’interprétation.
1. Observer et s’imprégner du motif
Avant de commencer, prends un instant pour observer la fleur, en vrai ou sur une image.
Que remarques-tu ? Laisse-toi guider par quelques détails, sans chercher à tout reproduire fidèlement.
Petit défi : Essaye de ne pas dessiner de contours précis avant de commencer. Plutôt que de vouloir « bien faire », ressens comment ces formes et couleurs peuvent être suggérées par des morceaux de papier déchiré.
2. Jouer avec les couleurs et l’imprévu
Teinte d’abord ton papier avec de l’encre, de l’aquarelle ou gouache diluée. Laisse les couleurs se mélanger librement.
Mon expérience : Ici, j’ai utilisé des orizome que j’avais teintés sans intention particulière. N’ayant pas exactement la teinte bleu-violet de la pervenche, j’ai choisi d’interpréter ce motif avec les couleurs déjà présentes sur le papier. J’ai intégré ces variations à ma composition en disposant les fragments par nuances pour créer une certaine harmonie. Les couleurs ne sont pas réalistes, mais elles conservent l’esprit de la fleur, en jouant sur l’équilibre des formes et des volumes.
3. Déchirer et composer librement
Une fois ton papier sec :
- Déchire des fragments arrondis et irréguliers pour suggérer les pétales.
- Expérimente la superposition : un pétale plus clair par-dessus un plus foncé peut créer une belle profondeur.
- Dispose tes morceaux sans les coller tout de suite. Joue avec la composition, change d’angle, modifie les contrastes…
- Lâche-prise : Tu remarqueras peut-être que ton assemblage ne ressemble pas exactement à la fleur de départ. C’est normal et c’est ce qui fait la force du Chigiri-e : plutôt que de copier, interprète l’esprit du motif (forme, texture, parfum etc.).
4. Coller et ajuster en suivant ton intuition
Une fois satisfait(e) de ta composition, commence à coller délicatement tes morceaux.
N’hésite pas à déchirer de nouveaux petits fragments pour affiner certains détails.
Prends du recul : Regarde ton image en l’éloignant un peu. Que ressens-tu en la regardant ?
Plutôt qu’un simple collage, tu viens de créer l’interprétation libre d’une fleur!
Ce que cet exercice apporte à l’estime de soi
- Un moment de jeu : Comme un puzzle que tu crées toi-même, chaque morceau trouve naturellement sa place, sans contrainte ni précipitation.
- Une expérience sensorielle : L’épaisseur, la texture et les couleurs du papier éveillent le toucher et stimulent l’exploration visuelle.
- Un lâcher-prise immédiat : Rien n’est figé, tout s’adapte. La composition évolue au gré de tes choix et de l’imprévu.
- Un dialogue avec la matière : Plutôt que d’imposer une forme, tu laisses le papier te guider, en jouant avec ses nuances et sa souplesse.
- Un sentiment de liberté : L’image naît spontanément, sans contrainte de réalisme ni crainte de l’erreur.
- Une reconnexion à son intuition : Observer, ressentir, ajuster… Tu suis ton instinct et trouves l’harmonie sans chercher à tout contrôler.
Ouvrir un espace de confiance en soi
Ces pratiques artistiques offrent plus qu’un déclic créatif. Elles permettent aussi de s’observer autrement, mieux se comprendre et s’accepter avec bienveillance. Leur caractère simple et spontané nous libère de l’autocritique, et amène à créer librement et sans limite.
Si cette approche t’inspire, je t’invite à l’expérimenter par toi-même et observer ce qu’elle éveille en toi.
Et si, plutôt que de chercher un résultat, tu laissais simplement l’expérience te surprendre ?
Rejoins le groupe Facebook Rêve debout pour partager tes créations, échanger avec d’autres membres et t’inspirer au fil des discussions.
Dis-moi en commentaire quelle pratique t’attire le plus et ce que tu aimerais en retirer.
Garde cet article sous la main ! Épingle une de ces images sur Pinterest pour retrouver la page et la lire plus tard:
Résumé :
Cet article explore quatre pratiques artistiques inspirées du Japon, alliant écriture et expression visuelle, pour renforcer l’estime de soi. Leur approche sensorielle et spontanée ouvre un espace de liberté où l’on crée sans pression, en se reconnectant à soi avec curiosité et plaisir.
FAQ : Ce qu’il faut retenir
Faut-il être doué pour pratiquer ces arts ?
Non ! Ces pratiques sont accessibles à tous, même aux débutants. Elles valorisent l’expérimentation et le lâcher-prise.
Comment ces pratiques peuvent-elles aider à développer l’estime de soi ?
Par leur simplicité, elles permettent de se libérer du perfectionnisme, de s’exprimer sans crainte et d’accepter ce que l’on crée.
Qu’est-ce que cet article me parle dans ma quête quotidienne de confiance en moi ! Merci de nous proposer ces 4 pratiques d’art japonnais pour nous aider à l’améliorer et à lâcher prise.
Ravie que ça résonne pour toi ! Ces pratiques ont un vrai pouvoir apaisant et boostent la confiance en douceur. Hâte d’avoir ton retour si tu les essaies !
Super article, je ne connaissais pas le Chigiri-e, mais ça donne vraiment envie d’essayer en tout cas. ✂️🎨
Merci ! Le Chigiri-e est une technique presque méditative. Dis-moi si tu te lances !
Merci pour cet article en couleurs !
J’ai apprécié comment ces pratiques japonaises nourrissent l’estime de soi.
Cela me rappelle ma pratique de zen ainsi que mes stages d’origami et d’ikebana : patience, équilibre et acceptation de l’imperfection.
Merci pour ton message ! Ce qui est beau, c’est que certaines pratiques demandent patience et équilibre, et d’autres nous invitent à la spontanéité et au lâcher-prise.
Pour moi l’expression artistique et avant tout de l’expression de soi. Et quel beau chemin pour construire et renforcer la confiance en soi. Merci pour ces propositions qui nous invitent au passage à l’action.
Tout à fait d’accord ! L’art, c’est avant tout s’exprimer librement et se (re)découvrir. Ravie que ces propositions te donnent envie de passer à l’action !
Merci pour cet article inspirant! J’aime particulièrement l’idée que la création sans attente nous permet de nous libérer du perfectionnisme et du regard des autres. Le Chigiri-e, avec son approche intuitive et tactile, me semble être un formidable exercice pour lâcher prise et renouer avec son instinct créatif. Finalement, ces pratiques nous rappellent que l’essentiel n’est pas tant le résultat, mais le processus lui-même, un vrai chemin vers la confiance en soi.
Merci pour ton retour, Élise ! Tu as tout compris : créer sans attente, c’est s’offrir une vraie liberté. Le Chigiri-e est parfait pour ça, avec son côté spontané et sensoriel. Profite bien de ce chemin créatif !
C’est super le Chigiri-e ! Déjà, le nom est rigolo, mais surtout, l’esprit de cette technique ressemble à celle de la création de chanson, avec un mélange d’aléatoire, d’artistique et d’artisanal… et un peu de technique aussi ! C’est vraiment génial ! Merci pour cette découverte !
J’aime bien ton parallèle avec la création de chanson! C’est vrai qu’il y a ce mélange entre spontanéité, intuition et un brin de technique. Ravie que ça te parle!
C’est beau, ce que tu proposes ! Et j’avoue que lorsqu’il y a de l’encre, de la colle et de la créativité, je suis toujours partante ! Un grand merci pour cette présentation jolie et claire de cet art que je ne connaissais pas (et dont je ne me risquerai pas à tenter d’écrire le nom ! 😉 )
Oui, et je l’ai déjà testé avec des chutes de lé de tapisserie, le rendu est vraiment intéressant ! Le mélange des motifs et textures apporte une belle richesse, et en laissant les franges blanches autour, on retrouve cet effet diffus si particulier.
Bonjour Sylvie,
Ton article sur les arts spontanés japonais est une véritable source d’inspiration. L’Etegami, cette fusion de l’image et du mot, me rappelle l’art de marier les saveurs en cuisine pour transmettre une émotion. Merci pour ce partage enrichissant.
Merci pour ton message, Sébastien ! Ton parallèle avec la cuisine est très parlant. Dans l’Etegami, le message a autant d’importance que l’image, c’est un principe essentiel de l’esthétique de l’estampe japonaise. Les deux se complètent pour suggérer une émotion.
Quel article inspirant ! Ça fait beaucoup de bien de découvrir des pratiques artistiques où l’imperfection devient une force et où l’on peut créer sans pression. Tu sais que j’adore déjà l’orizomegami ! 😊✨
Ces 4 techniques sont une belle invitation à ralentir et à se reconnecter à soi ! Bravo et merci
Merci beaucoup ! Oui, l’imperfection devient une vraie richesse dans ces pratiques, et c’est libérateur. Si tu aimes l’orizomegami, tu devrais adorer explorer ces autres techniques, elles ont aussi ce côté spontané et apaisant.
Ce qui est génial avec l’art-thérapie, c’est qu’il y a mille façons de la pratiquer !
Merci pour cette proposition !
Je vais tester le Haiku car je ne connaissais pas, je t’en dirai des nouvelles 🙂
Oui, c’est ça qui est beau : chacun peut trouver la pratique qui lui correspond ! Ravie que tu aies envie d’essayer le Haïku, j’ai hâte d’avoir ton retour. Amuse-toi bien avec les mots !
Merci beaucoup pour ton article, Sylvie ! Je dois avouer que je connais très peu ces arts japonais, et c’est une véritable découverte pour moi. Ce qui me touche particulièrement, c’est cette liberté de création, ce lâcher-prise face au regard des autres. J’ai une profonde admiration pour ceux qui osent s’exprimer pleinement à travers l’art. Je suis convaincue que franchir ce premier pas ouvre la porte à une belle reconquête de la confiance en soi ! »
Merci pour ton retour, Véronique ! Oui, cette liberté de création est essentielle, elle permet d’apprendre à poser un regard plus doux sur soi-même et de s’exprimer sans crainte du regard des autres. Oser se lancer, c’est déjà un grand pas vers plus de confiance en soi !
Merci pour cet article. ça donne envie de tout essayer. On en a jamais fini de travailler sur la confiance en soi et l’art est une voie royale pour cela.
Oui, l’exploration artistique est une belle manière de se découvrir et d’explorer sa propre sensibilité. Chaque pratique permet d’aborder la confiance en soi sous un angle différent, sans chercher la performance, juste en étant à l’écoute de ce qui émerge.
Merci beaucoup pour cet article.
Encore une nouvelle pratique que je découvre.
J’aime beaucoup cette simplicité de l’art japonais qui va à l’essentiel, pour se faire du bien.
Merci pour ton retour! L’art japonais a cette capacité de nous ramener à l’essentiel tout en ouvrant un espace d’expression libre et sensible. Ce qui me fascine dans ces pratiques, c’est qu’elles ne nécessitent ni maîtrise technique ni matériel sophistiqué, permettant ainsi une vraie reconnexion à soi.
remettre la créativité au centre de l’estime de soi, merci. Se souvenir que la créativité est la nourriture de l’âme. Pour ma part, je suis en cours d’aménagement de planning pour m’offrir plus de temps à créer. merci pour cet article.
Merci Carole ! Trouver du temps pour créer, c’est déjà un beau cadeau à s’offrir ! Je te souhaite de belles inspirations dans cette réorganisation. À bientôt!